28 juillet 2019

À lire dans LE RÉPUBLICAIN LORRAIN d’hier
un article qui permet d’entrevoir
d’une part la complexité élevée des phénomènes en jeu,
et d’autre part le très haut degré de développement des végétaux.

On voit que ce sont bien des organismes autonomes,
ayant mis au point leurs propres mécanismes de défense.
Laissons-leur juste le temps de répondre aux attaques,
et cessons de les manipuler à longueur de temps,
scrogneugneu !

Le même article transcrit en pdf :

27 juillet 2019

Je suis intrigué par une étude scientifique.

Ce qui m’intrigue, c’est le ton péremptoire de cette étude : le doute en est absent !
Je croyais pourtant que le doute était consubstantiel au principe même de science.
Ici, on a plutôt le sentiment d’avoir affaire à un document de militantisme, à un tract de propagande.

Ce qui m’intrigue également, c’est que ces scientifiques se focalisent ici sur un seul aspect des choses (le CO2),
alors qu’ils se penchent pourtant sur des écosystèmes extrêmement complexes où tout est étroitement interdépendant.

Je suis intrigué aussi par cette position affirmée de
vouloir amplifier encore plus la domination du vivant
(« créer de la biodiversité », « accroître les capacités adaptatives »…)
et l’artificialisation à outrance
(« illustrer les solutions technologiques », « créer de la performance par l’amélioration génétique
 »…).

Et enfin, je ne vois nulle référence aux découvertes récentes sur le fonctionnement des plantes
découvertes que, pour ma part, je trouve pourtant révolutionnaires.

Alors je voudrais bien savoir si tous ceux qui sont mentionnés l’ont signée et la valident.

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